Pablo Rodriguez se vide le cœur après avoir appris une nouvelle qui l'affecte beaucoup

Le chef du Parti libéral du Québec (PLQ), Pablo Rodriguez, a accusé des journalistes «de glisser du terrain politique vers le terrain personnel».

C'est dans une publication sur X que le chef du PLQ a effectué une sortie publique afin de dénoncer le fait que des journalistes cibleraient «directement» sa famille.

Dans la publication en question, Pablo Rodriguez va tout droit au but en expliquant la problématique à laquelle il dit faire face: «Des journalistes cherchent présentement à écrire un article sur le fait que le petit ami de ma fille travaille au Parti libéral du Québec. On tente de glisser du terrain politique vers le terrain personnel, en ciblant directement ma famille.»

Le chef du PLQ remet ensuite «les choses en contexte» en précisant: «Il était déjà impliqué dans ma campagne bien avant de tomber amoureux.»

Pablo Rodriguez poursuit en expliquant dans quelles circonstances le conjoint de son amoureuse a commencé à travailler pour son organisation: «Pendant la chefferie, c’est mon organisatrice en chef qui l’a pris sous son aile. Elle a reconnu son potentiel, son sérieux et sa capacité à livrer. À la suite de la campagne, la décision de l’engager a été prise sur la base de son travail et de ses compétences. J’étais parfaitement à l’aise avec cette décision, puisque son engagement, son professionnalisme et ses compétences étaient déjà connus et reconnus. Il n’y a là ni faveur, ni passe-droit, ni conflit d’intérêts, ni zone grise.»

Le chef du PLQ n'a pas hésité à qualifier de «dégueulasse» le fait que certaines personnes s'attaquent «à la réputation d’un jeune professionnel et en impliquant ma fille». Selon Pablo Rodriguez, le fait de «Tenter d'insinuer quoi que ce soit là-dedans, [...] ça franchit une ligne.»

Pablo Rodriguez a conclu sa publication en invitant les journalistes et ses adversaires à «arrêter de chercher des scandales là où il n’y en a pas et cesser de faire payer à des proches le prix du débat politique».

Voici la publication complète de Pablo Rodriguez: