Une jeune femme obligée de se faire amputer une partie de la jambe en raison d'une ampoule

Une femme de 24 ans a expliqué comment une «simple ampoule» l'a menée à devoir subir l'amputation du bas de la jambe.

Charlie Beardshall-Moore, vit à Hull, au Royaume-Uni, et tout récemment, elle a décidé de s'adresser à la population afin de lancer un avertissement.

La jeune femme habite présentement avec son partenaire Jason Copeland et sa grand-mère Sheryl Moore, alors qu'elle attend que les médecins puissent lui installer une prothèse à la suite d'une amputation.

Avant de subir cette amputation, Charlie était une personne active et sportive , mais c'est après l'apparition d'une ampoule que les choses ont pris une vilaine tournure.

Charlie n'a pas traité l'ampoule et celle-ci a fini par s'infecter, ce qui a mené à une septicémie.

Lorsque Charlie a consulté les médecins, la seule façon de sauver la jeune femme était de lui amputer une partie de sa jambe gauche.

Charlie a expliqué : «Les gens doivent littéralement aller faire un examen immédiatement. J'ai maintenant perdu ma jambe. Cela pourrait arriver à n'importe qui. Ma vie a énormément changé. Avant, je sortais et j'étais active tous les jours, je nageais, je travaillais chez KFC et je faisais du shopping. Maintenant, j'ai perdu mon indépendance et je dois compter sur mon partenaire et ma grand-mère.»

Une équipe de soutien psychologique vient aussi en aide à Charlie. La jeune femme ne cache pas que son nouveau mode de vie l'a grandement affectée.

L'ampoule est apparue en janvier 2021 après l'achat de nouvelles chaussures.

Charlie a cru que l'ampoule se guérirait par elle-même, mais celle-ci s'est infectée. La jeune femme a décidé d'aller consulter lorsqu'elle du pus s'est formé autour de l'ampoule.

Enfin, Charlie invite les gens à ne jamais négliger le traitement des petites blessures et dès qu'elle aura une prothèse, elle souhaite retourner au travail: «Je suis une fille qui aime être indépendante, et ne pas être en fauteuil roulant et ne pas pouvoir sortir et faire les choses que font les jeunes de 24 ans.»